JC11 - KICHIJIŌJI 吉祥寺
Une oeuvre d’Apollo Thomas
Gouche sur Celluloid
Giclée Print 310g
40x50cm
Vendue encadrée
Frais de port non inclus.
Depuis le début de ses années à Tokyo, elle avait déniché une piscine municipale à trente minutes à pied de Kichijioji et à seulement vingt de Mitaka. Depuis une journée d’avril qu’elle classait dans le top des pires de sa vie, elle descendait à Kichijioji et marchait dix minutes de plus, même si ça ne changeait rien au cours que les choses avaient pris.
Son rituel était le suivant : passer au Family Mart pour acheter une pomme bien brillante qu’elle mangeait sur le chemin, nager deux kilomètres en espérant que la maître-nageuse lui accorde un regard entre deux longueurs (ce qu’elle faisait souvent), se laver et se sécher trop vite, passer au 7Eleven sur le chemin du retour vers le métro pour acheter un onigiri au thon ou un œuf écalé dans sa petite boîte individuelle (pour reprendre des forces). Parfois elle rachetait des cigarettes et la vieille dame derrière le comptoir lui faisait une petite moue qu’elle interprétait comme une remontrance mais peut-être qu’elle se trompait.
Un texte de Clara Pacotte inspiré d’après l’oeuvre d’Apollo Thomas.
Une oeuvre d’Apollo Thomas
Gouche sur Celluloid
Giclée Print 310g
40x50cm
Vendue encadrée
Frais de port non inclus.
Depuis le début de ses années à Tokyo, elle avait déniché une piscine municipale à trente minutes à pied de Kichijioji et à seulement vingt de Mitaka. Depuis une journée d’avril qu’elle classait dans le top des pires de sa vie, elle descendait à Kichijioji et marchait dix minutes de plus, même si ça ne changeait rien au cours que les choses avaient pris.
Son rituel était le suivant : passer au Family Mart pour acheter une pomme bien brillante qu’elle mangeait sur le chemin, nager deux kilomètres en espérant que la maître-nageuse lui accorde un regard entre deux longueurs (ce qu’elle faisait souvent), se laver et se sécher trop vite, passer au 7Eleven sur le chemin du retour vers le métro pour acheter un onigiri au thon ou un œuf écalé dans sa petite boîte individuelle (pour reprendre des forces). Parfois elle rachetait des cigarettes et la vieille dame derrière le comptoir lui faisait une petite moue qu’elle interprétait comme une remontrance mais peut-être qu’elle se trompait.
Un texte de Clara Pacotte inspiré d’après l’oeuvre d’Apollo Thomas.
Une oeuvre d’Apollo Thomas
Gouche sur Celluloid
Giclée Print 310g
40x50cm
Vendue encadrée
Frais de port non inclus.
Depuis le début de ses années à Tokyo, elle avait déniché une piscine municipale à trente minutes à pied de Kichijioji et à seulement vingt de Mitaka. Depuis une journée d’avril qu’elle classait dans le top des pires de sa vie, elle descendait à Kichijioji et marchait dix minutes de plus, même si ça ne changeait rien au cours que les choses avaient pris.
Son rituel était le suivant : passer au Family Mart pour acheter une pomme bien brillante qu’elle mangeait sur le chemin, nager deux kilomètres en espérant que la maître-nageuse lui accorde un regard entre deux longueurs (ce qu’elle faisait souvent), se laver et se sécher trop vite, passer au 7Eleven sur le chemin du retour vers le métro pour acheter un onigiri au thon ou un œuf écalé dans sa petite boîte individuelle (pour reprendre des forces). Parfois elle rachetait des cigarettes et la vieille dame derrière le comptoir lui faisait une petite moue qu’elle interprétait comme une remontrance mais peut-être qu’elle se trompait.
Un texte de Clara Pacotte inspiré d’après l’oeuvre d’Apollo Thomas.